frotte-moi la lampe, je suis un génie. (naxel)

La chaleur qui grimpait, ses lèvres ne voulant plus se décrocher de sa peau, sentir encore son odeur sans jamais s’arrêter. Bassin qui se frottait contre le sien, envie dévorante faisant grandir son intimité dans son boxer devenu trop serré à présent. Nathan souffla quelques pensées avant de plonger ses yeux dans les siens. Il était captivé par son regard, son visage, sa peau, tout son être. Long frisson lui parcouru le corps alors que des mots furent prononcés. Il en avait vraiment envie, terriblement même. Son regard bleu se perdit quelques instants avant qu’il ne souffle : Axel… Il soupira de nouveau, j’aimerai bien mais… je peux pas. Les yeux légèrement brillant de culpabilité. Lui faire subir ça alors que lui aussi avait terriblement envie de rester dans ses bras mais ça lui était interdit. Je sais, je veux pas partir non plus. Il se pencha pour déposer un baiser sur sa clavicule. Il fit remonter ses lèvres dans son cou collant son bassin avec un peu plus d’insistance. Mais je peux pas rester même si j’en crève d’envie. Il fit glisser sa langue jusqu’à sa mâchoire avant de reprendre ses lèvres. De son autre main il se tortilla pour retirer son caleçon et le laisser tomber au pied du lit. Il se cala entre ses fesses et déposa une autre vague de baiser. T’es la plus belle chose qui me soit arrivé, Axel. Sa main glissa le long de leur corps et il caressa l’intérieur de ses cuisses avant de reprendre ses lèvres avec passion.