ORELSAN a écrit : Dans ma ville, on traîne entre le béton, les plaines Dans les rues pavées du centre où tous les magasins ferment Ma ville est comme la première copine que j'ai jamais eue J'peux pas la quitter, pourtant, j'passe mon temps à cracher dessus Parler du beau temps serait mal regarder le ciel J'la déteste autant qu'je l'aime, sûrement parce qu'on est pareils On a traîné dans les rues, tagué sur les murs, skaté dans les parcs, dormi dans les squares Vomi dans les bars, dansé dans les boîtes, fumé dans les squats, chanté dans les stades
-- ici, c'est Paris.
Parisiens et Parisiennes, touristes ou simplement pour les affaires. La ville Lumière pour certains, une fourmilière pour d'autres. L'on se croise, on se bouscule, on vit à un rythme effréné. On peut la détester mais on est nombreux à l'avoir dans nos cœurs. Capitale sans limite qui ne cesse de se développer et d'accueillir les gens du monde entier. Paris ou plus communément Paname, la ville qui charme, celle où l'on vient parfois à contrecœur mais que l'on quitte avec nostalgie.
CONTEXTE
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